Balade sur la douce île. [PV Hoshi Takai, Miwato Kumo & Suigintou.]

Le vent soufflait doucement de sa brise caressante, la mer était d'un bleu azur. La lune se reflétait sur elle, semblant admirer sa splendeur naturelle. Parmi les coquillages marchaient des pieds. C'était Sayuri, qui se baladait encore sur la plage. La tête ailleurs, elle semblait plus heureuse et légère que d'habitude mais elle restait sérieuse et appréciait le bonheur et le plaisir que lui offrait la nature de ce lieu. Les cheveux dans le vent, elle souriait en regardant son esprit artificiel voler autour d'elle : elle se sentait en sécurité en sa présence, elle ne le lâchait plus. Ses jambes frôlaient le sable fin de la mer, elle se pencha afin d'observer les poissons dans l'eau. Lorsque la brise se calma, ses cheveux retombèrent gracieusement dans son dos, elle soupira. Elle se demandait pourquoi elle possédait d'aussi longs cheveux, pourquoi ils allaient jusqu'à ses chevilles. Mais au moins, ils étaient jolis. Alors elle ne se plaignait pas. Elle continua d'avancer en levant ses yeux pétillants vers le ciel, admirant les étoiles. Le vent revint, alors elle ferma les yeux afin d'apprécier encore plus la chance qu'elle avait. Il faisait assez chaud, alors elle s'était vêtue d'une courte robe blanche et n'avait pas mis de chaussures pour pouvoir en profiter. Elle observa les quelques nuages qui transperçaient la lune et les étoiles, semblables à de la crème. Elle passa une main dans ses cheveux, puis elle chercha partout. Mais rien pour attacher ses cheveux. Sayuri envoya alors Kutanyû chercher des rubans dans sa N-Field, il y retourna en scintillant gentiment. Pour l'attendre, la Lumière de Lune s'assit sur le sable et patienta. Une branche craqua et un oiseau s'envola. La poupée se retourna d'un coup et recula, effrayée. En plus, elle ne pouvait pas vraiment se défendre pour le moment puisque Kutanyû était absent, alors elle jeta un coup d'oeil discret, elle prit n bâton et le dressa devant elle, comme si sa allait suffire. Elle prit la parole d'une voix assurée, bien qu'au fond elle avait peur.

"-Qui est là suu~ ?"

Attendant une réponse, elle finit par réfléchir et regretta un instant. Si sa se trouve, ce n'était que Mina, Nana ou encore Sayumi. Mais elle préférait se méfier. Elle repensa aux merveilleuses rencontres qu'elle avait fait, en espérant que ce ne sera pas un combat. Elle baissa sa garde un instant, la tête remplie de questions. Elle ne savait plus quoi penser et se posa sur le sol. Pourquoi c'était si compliqué de prendre une décision ? Peut-être parce qu'elle refusait de se battre avant de savoir comment allait sa soeur jumelle... Au fond, elle commença à s'enfoncer des pics, se meurtrissant ainsi comme la dernière fois. Elle lâcha le bâton et observa l'obscurité. Elle sembla apercevoir une ombre au loin, mais elle se méfiait quand même de ce qu'elle voyait. Elle se releva d'un coup, prit un morceau de verre et fit un pas en avant, se murmurant qu'elle n'avait pas peur et qu'il n'y avait rien à craindre. Prenant de nouveau la parole, elle espérait ne pas parler dans le vide...

"-Je...Je répète suu~... Qui est-là suu~ ? Montrez-vous, je n'ai pas peur suu~ !"

Le vent continuait de souffler, elle se montra de plus en plus méfiante et agressive. Tant qu'elle n'avait pas revu sa Sayumi, elle ne pouvait pas perdre. Les liens qui unissaient les deux soeurs de la Lune ne pouvait pas se briser, c'est ce qui permettait à Sayuri de tenir encore le coup et rester debout. C'est alors qu'elle commença à fixer bizarrement la pénombre, se rapprochant de plus en plus. Elle était curieuse de savoir qui pouvait être ici. Elle s'avoua à elle-même qu'un peu de compagnie ne lui ferait que du bien après tout, mais elle resta tout de même sur ses gardes. Plus méfiante que jamais, elle souleva le feuillage avec sa main droite et fixa tout ce qui pouvait bouger. Ne voulant pas s'inquiéter davantage, elle repensa à l'un des livres que Sharon ne cessait de lui lire lorsqu'elle était encore en vie : c'était Alice au pays des Merveilles. Elle s'imagina croiser un lapin bizarre, mais ses pensées s'arrêtèrent immédiatement. Elle se souvint qu'elle était venue à la base pour déposer des fleurs sur la tombe qu'elle avait consacré à sa médium, comme dans sa N-Field. Elle se mit sur la pointe des pieds et cueillit une fleur rose, puis elle regarda dans tous les sens et pencha la tête sur le côté. Elle ne savait pas où elle se situait sur l'île, donc ne savait pas par où elle devait aller. Elle soupira : elle ne devait pas quitter l'île sans déposer de fleur.

Invité

Ce vent.
Il est si fort qu'à chaque fois il me décoiffe,alors autant les laissez détachés. En plus il était glacé. Il me glaçait le corps, un léger frisson me parcourait,j'avais envie d'une bonne couverture bien chaude. Je m'avançais alors dans l'obscurité sans aucune crainte ni quoi-que ce sois.

L'obscurité...
Ça me rappelle de trop mauvais souvenirs...
J'étais toute seule. Mais maintenant, j'ai un devoir que je dois accomplir,je n'ai pas le temps de faiblir ! Serrant les poings, j’accélérais le pas.

La lune resplendissait,ce qui me servait de lumière pour ne pas me perdre. Bah oui,je tiens pas non plus à me faire manger par une bête sauvage ! Je voulais changer d'air,voilà pourquoi je suis venue içi,même si c'est aussi pour me battre, je le reconnais ! J'arrivais tranquillement vers la plage.

Le sable caressait mes pieds et le vent me sifflotait une mélodie dans mes oreilles. J’étais si bien jusqu'au moment où j'aperçus une poupée. Coup de bol.

J'espérais tout de même qu'elle ne soit pas trop forte. Je pris mon courage a deux mains et j'avançai alors sur le sable fin. La lune resplendissait de plus belle. Je tremblais d'impatience si je peux le dire,de me battre.

Allais-t-elle être à ma hauteur ?

J'allais bientôt le savoir,je la vis qui brandissait un bout de verre,elle croit me battre avec ça ?
Je sens qu'on va bien s'amusez toutes les deux !

- Qui es-tu ?~

Sa cheveulure avait l'air si douce, elle me semblait tout de même un peu frêle.

-Que fais-tu ici ?

« Je m'ennuie... pas toi, Patinato ? »

L'esprit artificiel se mit à voler dans tous les sens. Miwato savait bien ce que cela voulez dire : Oui. Voilà maintenant des jours qu'eux deux n'avaient pas quitté la N-Field à l'allure paradisiaque. Le soleil était toujours en vu et Miwato commençait à s'en lasser. En faite, ça faisait des jours maintenant qu'elle n'avait pas dormit. Mais elle était tout le contraire de fatiguée. Elle commençait tout juste à s'habituder à son nouveau corps qu'elle s'ennuyait. Miwato avait envie d'en savoir plus sur ce corps, elle avait envie de savoir jusqu'où sa puissance pouvait s'arrêter. La poupée avait prié devant la photo de Cerise, qu'elle la vengerait. Le problème, c'est qu'elle ne savait pas où se trouve les précious dollzs et les rozen maiden. Elle avait cherché, impossible de les trouver...

Miwato fixait l'horizon fermement, essayant de ressentir la présence éventuelle, de poupées dans son N-Field. Rien. Personne. Miwato était seule avec Patinato. Plus loin, dans la mer, elle sentit la présence de Minos bougeait. Ça faisait plus d'une semaine qu'il n'était pas venu voir Miwato. Celle-ci qui le détestait avant, commençait à l'apprécier. Miwato sourit à sa penser mais secoua vivement la tête pour arrêter de sourire. Elle reporta son regard sur son livre. Sur son énorme livre, plutôt. Le livre ressemblait à une encyclopédie, en plus gros et en plus vieux. Miwato était passionnée par ce livre qui parlait de la vie de l'homme. L'homme se déplaçaient sans arrêt pour avoir de la nourriture... Une partie de la phrase donnait l'envie à Miwato de pleurer : "L'homme se déplaçaient...". Elle pensait tout de suite à Cerise, quand on lui avait arraché... Les larmes montèrent directement aux yeux de Miwato quand elle repensait à cet instant de sa vie de poupée. La mer, calme, renvoyée tout son éclat sur L'île. Miwato déposa le livre à côté d'elle, ramena ses genoux contre sa poitrine et les enlaça de ses bras avant de poser son front contre eux. Puis, elle pleura. Cerise... L'humaine qui lui avait été dérobé. Son humaine à elle et rien qu'à elle... En la voyant, Patinato vint se coller contre sa joue. On aurait dit qu'il lui déposer un baiser dessus, d'ailleurs. Après, il essaya de lui enlever ses larmes. Miwato releva la tête et lui souria gentiment.

« Tu as raison Patinato... Il ne faut pas que je reste là pour pleurer ! Voyons si je trouve de l'agitation dans d'autre N-Field ou monde de poupées... »

Patinato s'agita comme un petit fou, tellement joyeux d'avoir réussit à remonter le moral à sa protéger. Miwato se leva et alla à sa terasse. Là, elle ferma les yeux et se laissa emporter dans son univers noir*.
L'univers était sinistre, autant que quand Miwato y avait été la dernière fois sans le vouloir. Dans cet univers, Miwato se sentait un peu comme chez elle. Elle ferma les yeux lentement et se laissa emporter par le sens des agitations du monde des humains. Puis, elle essaya de passer dans le monde des poupées... de l'agitation, il y en avait ! Justement, il se préparait quelque chose de grand et la poupée avait bien envie d'y participer. Celle-ci, qui avait toujours les yeux fermer, sourit et les ré-ouvrant, elle fut re-transporter dans son N-Field. En arrivant dans celui-ci, elle déclara à Patinato tranquillement.

« Patinato, en route ! Nous avons une touche... »

Et ils se mirent en route. Le voyage ne fut pas bien long mais Miwato qui ne contrôlait pas encore trop bien ses nouvelles ailes, faillit s'écraser. Heureusement que c'était du sable. Miwato détacha ses mains de sa poitrine pour libérer Patinato. Pendant le vole, elle avait préférer le prendre dans ses mains. Maintenant, il volait joyeusement autour d'elle et devait attendre aussi impatiemment que Miwato, la suite des événements. La poupée s'avança sur la plage calmement mais le sourire aux lèvres. La lune se reflétait dans toute sa beauté, contre la mer. Celle-ci était calme d'ailleurs. Miwato avançait toujours et commençait même à accélérer l'allure. Patinato tournait autour de ses cheveux, juste derrière elle. Sa robe blanche devait ce voir de loin. Le sable caressait les pieds de la poupée qui adorait cette sentation. Au bout d'un moment, Elle s'arrêta, sure d'avoir atteint son but. Deux poupées étaient devant elles. Elle s'avança un peu plus, Patinato toujours dans son dos. Elle déclara finalement dans le calme le plus parfait.

« Bonsoir. »

*Miwato, quand elle a été puni par Alice, a été emmené dans un univers noir. Depuis, elle peut s'y rendre quand elle le veut et peut voir l'agitation qu'il y a entre les autres poupées.

[HRP]Je 'excuse pour les fautes d'orthographe..[/HRP]

Invité

C'était un bel endroit, vraiment très joli. La poupée aux cheveux blancs ne savait même pas comment elle était arrivée ici, elle s'ennuyait aujourd'hui, et elle avait décidée de prendre des endroits comme ça au hasard esperant trouver quelque chose, de la compagnie ? Non , ça sûrement pas, les amis ne servent à rien d'après elle, on ne peut compter que sur soi même.

Ca, elle l'avait appris à ses dépends et maintenant, elle ne faisait plus aucune confiance à personne, son seul but, c'était de retrouver "père", elle serait Alice et adorée, c'était la seule chose qui comptait, et personne ne lui metterait de bâtons dans les roues, si quelqu'un se metterait en travers de sa route, elle n'hésiterais pas à combattre.

Mais bon, pour l'instant, ce n'était pas le cas, il n'y avait personne dans cette belle île. Enfin... C'était ce qu'elle pensait. Suigintou marchait envoutée par le son de ses propres pas sur le sable doux, il faisait nuit, les étoiles brillaient dans le ciel et elle trouvait ça joli.

Elle esperait qu'il n'y ait pas d'autre poupée dans le coin. Mais elle ne pensait pas qu'il y en avait, après tout, elle les aurait déjà entendu non ? Mais il y avait du vent, et elle aurait très bien pu ne pas les entendre. Alors la poupée aux cheveux resta sur ses gardes, elle faisait attention au moindre bruit et gardait Meimei près d'elle au cas ou elle en aurait tout de même besoin. Au bout d'un moment, elle déplia ses ailes et s'envola à quelques centimétres du sol, la demoiselle c'était toujours sentie mieux en l'air. Elle était prête à riposter si on l'attaquait maintenant. Un gros coup de vent souffla et lui souleva ses cheveux.

Elle ne savait toujours pas si elle était ou non dans la N-field d'une poupée, il fallait se méfier... Tout à coup, elle entendit un bruit, elle regarda partout et vit au loin trois silhouettes, elle s'approcha doucement puis, d'un coup,arriva à leur hauteur. Elle ne dis rien mais Meimei était tout près d'elle et elle n'hésiterais pas à s'en servir si le besoin s'en faisait sentir.

[HRP : Finalement, une personne en plus à poster.. C'était censé être trois, mais plus on est de fous, plus on rit ! ;D]

Toute cette agitation mit la petite Sayuri dans un tel état qu'elle n'osait ouvrir la bouche, de peur qu'une mauvaise aura y pénètre. La poupée aux cheveux violets la regardait, comme si elle était prête à lui bondir dessus ce qui effrayait grandement la Lumière de Lune. Elle la regardait, comme impressionnée par la splendeur de sa camarade poupée, qui n'était visiblement pas l'une de ses soeurs. Un tintement doux se fit entendre, rassurant la poupée jusqu'à qu'elle découvre que ce n'était pas Kutanyû, mais un esprit artificiel à la lueur brillante et resplendissante. Cela signifiait qu'une autre poupée se baladait ici, dans l'île de Sayuri. Elle semblait encore plus effrayée que tout à l'heure, ne sachant plus quoi faire jusqu'à que son adorable esprit artificiel la rejoigne, elle fut tout de suite rassurée. Kinuzaru ne pouvant pas la défendre à cause du fait qu'elle soit scellée, sans Kutanyû la Lumière de Lune ne pouvait se défendre. Son regard se tourna vers le dôme situé au milieu de l'île. C'est là-bas que devais se rendre Sayuri. Les murmures du vent n'arrangeaient rien à la peur de la poupée, mais la faisait avancer malgré tout. Elle savait que si réellement elle en avait besoin, Kinuzaru briserait le pouvoir de Beauty pour faire surface, bien qu'avec quelques difficultés. Une seconde poupée rejoignit Sayuri et la poupée aux cheveux violets, mais étrangement cela rassura la Lumière de Lune, la faisant même sourire. Ce fut la demoiselle à la chevelure dorée qui entama l'acte de dialogue, en regardant les deux autres.

« Bonsoir. »

« Qui es-tu ? Que fais-tu ici ? »

La jeune poupée aux yeux bicolores répondit sans trop attendre.

« Je...Je m'appelle Sayuri suu~ ! Troisième poupée Dolls Night suu~ ! Vous êtes ici sur mon Île suu~ ! Enchantée suu~ ! »

Elle sourit, ne voulant montrer sa faiblesse à qui que ce soit. La pureté dont elle faisait preuve masquait toute forme de sadique qui pourrait resurgir par la faute de Kinuzaru, fille de Beauty. Sayuri se souvenait toujours du combat entre les deux, à la fin elle en avait même pleuré. La Lumière de Lune lâcha le morceau de verre qu'elle avait en main pour câliner Kutanyû, son cher esprit artificiel. Lui, au moins, ne l'avait jamais abandonné. Elle ouvrit uniquement son oeil couleur lavande, afin d'observer les poupées qui étaient présentes. Une ombre était tapissée dans l'obscurité de la forêt. Elle finit par se joindre au petit groupe de visiteurs, laissant Sayuri perplexe. Comment se faisait-il que tant de poupées soient ici ? On aurait dit qu'elles s'étaient données rendez-vous... Enfin, ce n'était pas le plus important. Au moins, elle n'était pas seule... N'était-ce pas cela l'essentiel ? Le fait de ne plus être seule ? Pour Sayuri, c'était une chose assez importante mais celle dont elle avait besoin, c'était sa soeur jumelle, Sayumi... Sa petite Clarté de Lune... Sans elle, les Soeurs Clair de Lune ne signifiait plus rien, comme un coeur sans son autre moitié, un chat sans sa souris, un chien sans son maître... Tout triste. De nouveau, elle se présenta tout en effectuant une belle révérence et un sourire chaleureux et accueillant.

« Je m'appelle Sayuri suu~ ! Et je suis la troisième poupée Dolls Night suu~ ! Et vous suu~ ? »

Se redressant, elle observait gentiment toutes les poupées qui l'entouraient, les trouvant toutes magnifiques. À côté, elle se sentait ridicule avec sa petite robe blanche pleine de sable. Mais en-dessous se cachait une belle poupée faite avec amour, malgré que son bras ait été cassé des dizaines de fois. Il en restait quelques marques d'ailleurs. Il restait aussi des griffures de la fois où son amie, Ambre, l'avait agressée. Elle ne lui en voulait pas, étrangement mais c'était comme ça. Gracieusement, Sayuri attacha les rubans que lui avait apporté Kutanyû dans ses longs cheveux soyeux et colorés comme le blé. Ouvrant son second oeil, elle laissa paraître une lueur bleue pleine de malice et de joie, l'autre brillait faiblement avec une lueur triste. C'était le "masque" de Sayuri, regroupant au fond d'elle deux vertus : la Tolérance et la Bonté. C'était ce dont elle faisait toujours preuve, même si cela la faillait tout le temps. Elle se faisait toujours avoir la petite Lumière de Lune, trop naïve lorsqu'elle pensait se faire des amis. Malgré sa sensibilité, elle pouvait faire preuve d'une grande cruauté lorsque Kinuzaru prenait le dessus, seule Beauty arrivait à la calmer. Enfin, c'est ce que la jeune poupée pensait. Mais elle ne souhaitait pas montrer cette partie d'elle pour le moment. C'était trop risqué puisque Sayuri ne savait pas la contrôler. Puis, sans savoir pourquoi, elle repensa au passé...

Flash Back.

Aujourd'hui, Sayuri travaillait beaucoup avec Sayumi, d'ailleurs ce n'était plus un travail mais une corvée... Elle n'en pouvait plus, elle craquait. Le vieux bonhomme était très méchant avec elles, les Soeurs Clair de Lune devaient faire toutes les tâches ménagères. La pire de toutes était promener le chien. Elles étaient si petites que c'était le chien qui les promenait. Le vieux s'en moquait bien, puisqu'il les regardait travailler en se permettant de râler et de cracher son venin. Sayuri, n'en pouvant plus, se tourna vers sa Sayumi, l'air décidée.

« J'en ai assez de ce vieil homme suu~ ! Il faut que l'on parte au plus vite suu~ ! »

L'autre poupée la regardait tristement.

« Mais comment peut-on faire nii~ ? »

Sayuri ne supportait pas de voir sa soeur triste. Alors qu'elle voulait rétorquer, le vieil homme arriva l'air mécontent, jetant la Lumière de Lune à la porte. Elle n'en revenait pas... Il venait de séparer les deux soeurs jumelles, qui n'étaient rien l'une sans l'autre. C'était impossible à vivre, mais Sayuri tenu le coup jusqu'à que Sayumi parte à son tour. Elles s'endormirent toutes les deux dans leurs valises. Sayuri espérait se réveiller aux côtés de Sayumi, mais rien... Elle n'eut pas ce qu'elle souhaitait.

Fin Flash Back.

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